mardi 6 octobre 2015

Vienne, attente de la correspondance

Vienne est un aéroport d'un confort inégalé. Wifi gratuit, sièges où l'on peut étendre ses jambes, indications claires. Vol sans histoire depuis Erevan. Émotion au moment de l'adieu. Car c'est un adieu, je ne reviendrai sans doute jamais en Arménie. Mais à se côtoyer pendant 15 jours, les liens se tissent. Rubik est un homme simple, bon et dévoué. Il a apprécié que je sois toujours de bonne humeur malgré les inévitables contrariétés, et que j'aie essayé de comprendre son pays. Il avait pensé à quelques petites attentions, du sudjuk (orthographe approximative) pour les enfants, une limonade à l'estragon pour moi. Pas sûr que les enfants vont aimer le sudjuk, mais on ne le lui dira pas. Quant à la   limonade, il a bien fallu que je la boive avant la sécurité...
Retourner au pays après deux semaines dans un autre monde, c'est toujours un choc. Déjà à Vienne, c'est une autre ambiance. Paraît qu'il pleut chez nous, c'est ce que me dit Jéjé dans un sms. La vie recommence.


C'est la saison des noix en Arménie, on en vend partout. Et aussi des petites pommes cueillies dans les jardins. Commerce de proximité, la ménagère vend les produits de son jardin au bord de la route
 Les petites boules rouges, ce sont les fruits de l'argousier. On les présente en chapelets à déguster en marchant. Plein de vitamines. Mais aussi de poussière.

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